Une application à vos couleurs en 6 semaines ?

FileMaker commence l’année 2016 sur les chapeaux de roues en lançant une grande campagne de communication sur le thème de la simplicité et la rapidité de mise en œuvre d’un développement avec leur plateforme.

Il propose un « guide de référence rapide pour transformer [notre] activité » à l’aide d’applications personnalisées en l’espace de quelques semaines.

Pour appuyer cette thèse, il prend le cas des studios Métropolis. Ce studio d’enregistrement londonien a vu quelques noms de la musique passer dans ses murs : Queen, Michael Jackson ou encore Will I Am et Rihanna (pour les plus jeunes d’entre vous 😉 ).

Dans ce cas pratique, les studios Metropolis sont passés d’entreprise déficitaire (d’1 million de livres sterling tout de même…) à entreprise rentable générant moult profits, et ce en seulement 6 semaines !!

Le secret de ce retournement de situation fulgurant comporte quelques étapes.
Pour énoncer ces étapes, je vais utiliser une image de saison : le ski à la montagne.

« Studios Metropolis » est notre skieur. Pour la montagne, je vous laisse imaginer celle que vous préférez… (article interactif !)
Fier comme un paon, notre ami skieur chausse ses skis flambant-neufs que Papa Noël a déposé sous le sapin.
Il commence avec une piste bleue, mais verglacée : simple en apparence, mais au final, plus compliquée à gérer et appréhender parce que les skis ne sont pas utilisés au meilleur de leur performance.
Dans le cas des studios Metropolis, notre piste bleue verglacée est identifiée à Microsoft Excel ou Microsoft Access.

Notre skieur, lassé de cette piste bleue inadaptée à ses skis, a voulu passer en piste noir directement, sans entrainement et seul.

Les skis ont supportés le changement, mais notre skieur n’avait pas le niveau. Il a cependant persévéré et même fait appel à un moniteur de ski. Mais rien… Il a donc perdu du temps, de l’argent et de l’énergie à essayer de développer la bonne technique pour skier sur ce type de piste.
Ici, pour la piste noire, le studio Métropolis a utilisé la solution ERP Business One de SAP.

De nombreuses courbatures, des bleus aux fesses et un porte-monnaie allégé plus tard, notre skieur a décidé de prendre une piste rouge.
Là, pas de verglas ou de bosses inévitables, mais une piste offerte aux skis et adaptée au niveau de notre skieur. Ce dernier peut désormais skier sans l’intervention d’un moniteur et aisément. Il peut même facilement inviter ses collègues skieurs à le rejoindre en bas de la piste : il a assez de clefs pour leur expliquer comment gérer la descente.
La bonne solution, celle de la piste rouge, a été de créer des applications personnalisées FileMaker ! »

Quelle leçon en tirer alors ?? Vous avez des données de qualité, vous avez un personnel qui veut les exploiter au mieux : il vous faut une solution adaptée à vos attentes et à vos compétences en interne. Cela vous permettra de développer rapidement et facilement une solution de gestion de données pertinente et adaptée puisque vous l’aurez développée en interne.

Rappelons cependant que chaque cas est différent : la réflexion autour des besoins, des fonctionnalités que doit compter la solution FileMaker dépend de la structure, de ses objectifs, de sa taille, etc. (la liste n’est pas exhaustive). Aussi, quelques semaines pour certains peuvent devenir plusieurs mois pour d’autres…

Alors à vos skis ! Direction la solution FileMaker adaptée à votre Flocon ou à votre Chamois d’Or de ski !

Dénissa Baudouin

 

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  1. Bertrand
    8 ans ago

    En tout cas la personne qui a soit-disant développé en 6 semaines tout ce qu’il prétend avoir fait est sacrément doué.
    Appréhender FileMaker à ce point en 6 semaines est une utopie, je n’y crois pas trop.


    • Magalie Jeune
      8 ans ago

      Je dois bien avouer que nous avons aussi été assez sceptique en découvrant le document… mais j’ai tout de même déjà rencontré des gens réellement doués dans la conceptualisation et qui ont appréhendé FileMaker en un rien de temps et de façon tout à fait bluffante !


  2. Bertrand
    8 ans ago

    Il est vrai que maintenant avec les méthodes de style « agile », on pourrait y croire.

    Ces méthodes consistant à mettre en service des morceaux de logiciels pas forcément complets, pas forcément optimisés, pas forcément exempt d’un minimum de bugs et pas forcément dans une charte graphique ou utilisateur adaptée. Si on se contente de ce que les outils de FileMaker produisent, c’est envisageable, au delà, je ne sais pas où on va.

    Après il faut prendre son temps pour peaufiner et là, se sera plus long.