À quoi peut servir FileMaker ?

Vous rencontrez un ami.
Globalement cela va bien pour lui, mais vous le sentez soucieux…
Il finit par vous dire qu’il est débordé, submergé par une foule d’informations, tant sur le plan personnel, professionnel, que pour une association dont il s’occupe. Il perd un temps fou…
Pourtant dit-il, il s’aide avec son ordi, et liste beaucoup de choses dans Word et Excel…

Vous pensez que j’exagère ?

Alors écoutez ce que vit François, un cousin de ma femme, que je viens de revoir pendant mes vacances bretonnes…

François est passionné par l’histoire de la marine française. Il a des informations sur des dizaines de milliers de bateaux, depuis le 15ième siècle.
Oui, vous avez bien lu ! Le nom, le tonnage, l’armement, les dates importantes,… et j’en passe…
Passionné je vous dis…

Et tout cela est noté, bateau par bateau, dans de longs documents Word, un document par décennie.
Et on défile des pages et des pages,…
Imaginez le calvaire pour rechercher un bateau particulier sur des critères précis…

Pourquoi je vous parle des bateaux de François ?
Parce que c’est un bon exemple (certes un peu particulier) de l’infobésité qui nous guette,
et surtout, vous vous en doutez, parce que cela aurait été tellement simple dans FileMaker…

Or je voulais justement vous parler aujourd’hui d’un de nos ebooks sur le sujet.

En effet, à la demande de certains membres, et comme annoncé récemment,  j’ai décidé de présenter de façon plus étendue les principaux documents que vous trouvez dans la page « Ressources ».

Aujourd’hui voici l’ebook « Pourquoi une base de données FileMaker ?« , offert à tous les visiteurs.
Il est suivi d’un autre ebook, réservé aux membres… j’y reviendrai…

Ce premier ebook  ne vous apprendra pas grand chose si vous utilisez FileMaker depuis longtemps.
Il vise plus ceux qui s’intéressent à notre logiciel préféré, et qui veulent voir si cela peut leur être utile.

Mais vous pouvez l’utiliser pour convaincre des collègues, amis,… de mieux gérer leurs informations avec une base de données.
Le mot fait souvent peur.
On le présente donc ici avec des exemples simples (la liste des amis, les recettes de cuisine).
Puis on découvre que l’on peut aussi gérer le restaurant, y compris sa gestion financière, et que de grands groupes industriels s’en servent aussi,…

On réfléchit s’il vaut mieux apprendre à faire soi-même ou sous-traiter la création d’une base, voire, pourquoi pas, mixer les deux approches.

En voici le sommaire :

Vous le trouvez, bien sur sur, la page des ressources.
Il se lit facilement.

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La zone est ouverte à tous, puisque c’est un article pour visiteurs, membres et abonnés.

Michel Lansard