Dans FileMaker, partir à la chasse aux automatismes (1)

Vous êtes-vous demandé un jour à quoi sert l’informatique ?
Quels sont les services qui vous sont rendus quotidiennement par ces nouveaux outils qui sont venus envahir progressivement nos vies depuis 20 ou 30 ans ?

La ou les réponses semblent évidentes.

Pourtant, pourquoi ne prendrions-nous pas le temps de nous poser et de lister ces services.

Alors les réponses fusent : retrouver mes contacts et pouvoir utiliser leur téléphone pour les appeler, leur adresse email et leur envoyer un courriel, un courrier postal… tenir mes comptes, rechercher une information sur internet, etc.

Il y a foultitude de situations concrètes tant l’informatique s’est immiscée partout.

Si l’on essaie de s’abstraire du concret pour parvenir à un regard distancié, à quelles qualités de l’informatique aboutissons-nous ?

Voici ce que je trouve spontanément :

– L’informatique permet de communiquer avec autrui. J’évoquais les emails, le téléphone, le courrier postal. On peut y ajouter ce qui nous permet de dialoguer par audio ou par vidéo : Skype, Slack, etc.

– L’informatique permet de rechercher des informations, que ce soit en interne (sur son poste, sur un serveur local) ou en externe (internet).

– L’informatique permet de réaliser des calculs dont certains peuvent être très lourds.

– L’informatique tend à remplacer des outils traditionnels par des outils numériques. C’est le cas des logiciels de traitement de texte, PAO, CAO, MAO,…

Ces diverses situations connaissent toutes deux constantes :

– Pour pouvoir agir, l’informatique a besoin d’un support. Un poste informatique, un logiciel et des données. Les trois sont très importants. Une fois le choix fait du type de poste informatique (ordinateur de bureau, tablette, smartphone… ) et du logiciel ou de l’app, reste à acquérir des données. Ceci est du ressort direct de l’utilisateur, ce quelle que soit la nature des données en question (saisie par clavier, import, images, vidéos, son… ).

– Dans tous les cas, l’informatique est un « outil de paresse intelligente ». D’où son succès 😉
Elle nous libère de tâches longues et fastidieuses, nous permet de travailler plus vite et, si les choses sont bien conçues, de manière mieux sécurisée. Nous sommes donc assistés par des automatismes qui nous facilitent la vie…

FileMaker n’échappe pas à ces deux règles : l’obtention de données et les automatismes. À vrai dire, ces sujets ne sont pas antinomiques dans FileMaker puisque, comme les stagiaires de la formation Personne-ressource FileMaker ont pu le découvrir dans le module 3 de leur formation, on peut obtenir des données par automatisme 😉

Données et automatismes font donc bon ménage. Un peu comme s’il existait une sorte de partenariat entre l’homme et la machine, l’homme qui saisit et produit des données, la machine qui transforme ces données…

Lorsqu’on pense ou l’on parle d’automatismes, on pense spontanément aux scripts. Vendredi, une première fiche Astuce a été publiée à propos de la manière de lancer un script. Rappelons qu’un script est une programmation d’une succession d’actions prévues par le développeur pour accomplir à la place ou en collaboration avec l’utilisateur une tâche bien précise. Mais les scripts ne sont pas les seuls automatismes que l’on peut mettre à l’oeuvre dans FileMaker.

Aussi, en complément de ces fiches, je vous propose de partir à la chasse aux automatismes dans FileMaker dès le prochain article !

Alors, bonne chasse à tous 😉

Marie-Charlotte Potton

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